1ER IMPERATIF:

L’ALIMENTATION DOIT ÊTRE NATURELLE:

Il ne faut rien enlever à l’aliment car non seulement les parties soustraites font défaut, mais les parties restantes perdent partiellement ou totalement leur activité biologique. (H-CH. GEOFFROY)

Aucun auteur n’a su en si peu de mots, montrer l’importance du respect de l’aliment dans son intégrité, c’est à dire d’éviter tout raffinage excessif.

Non seulement il ne faut pas raffiner l’aliment, mais de plus il est nécessaire de le produire naturellement ou biologiquement.

En effet, les procédés intensifs de culture et d’élevage nés au XXème siècle, produisent des aliments qui présentent les inconvénients suivant:

• Ils ont perdu leur goût
• Ils ont perdu leur odeur
• Ils ont perdu leur capacité de conservation naturelle
• Ils ont une teneur en eau excessive
• Ils sont carencés en oligo-éléments par rapport aux aliments naturels (zinc, cuivre, manganèse, cobalt, vanadium..), ce qui est une énorme gravité car toute la biochimie de nos cellules dans son immense diversité dépend des enzymes, et les enzymes sont toutes “métalo-” ou métaloïdo-dépendantes >>>>> Tel enzyme dépend du zinc, tel autre du manganèse, tel autre du cuivre, etc.
• La carence en oligoéléments sera donc responsable de la perturbation de tous les métabolismes et impliquée dans la genèse de toutes les maladies connues.
• Ils contiennent des quantités faramineuses de pesticides, fongicides, nématicides, raticides, taupicides, mais aussi des édulcorants, des arômes et des conservateurs de synthèse emplyés par les laboratoires et industriels.

Chaque individu ingère ainsi entre 1 à 3 kg de produits de synthèse dont on ne connait rien de la toxicité ni du pouvoir cancérigène sur le long terme.

Les pesticides, fongicides, herbicides, raticides… ont une action œstrogénique  –  Leur usage de 0 à 20 ans, conduit à une perturbation de la sexualité masculine et pour la femme, l’usage de 0 à 50 ans majore d’une façon catastrophique les pathologies suivantes: cellulite, matose, fibromes, kystes ovarien, utérus fibromateux et augmente considérablement les cancers hormono-dépendants.

En conclusion, la nourriture séculaire, naturelle, bio, fit des femmes et des hommes dont la force dépasse notre entendement.

Rappelons nous, il n’y a pas si longtemps, avant 1900, les sacs de grains que l’on montait au grenier , pesaient plus de 100kg – De 1900 à 1950 (ère industrielle), les sacs de grains que l’on engrange, ne pèsent plus que 50kg et dans les années 1970 à 2000, ils ne pèsent plus que 30kg..

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